For shits and giggles | Satya [QC Soo-Yun, Howard, Helen] Terminé Life After The End :: Les Survivants :: Enregistrement des survivants :: Archive des enregistrés
# For shits and giggles | Satya [QC Soo-Yun, Howard, Helen] Terminé Lun 26 Juil - 0:18 Âge: 30 ansorigine: Indo-américainesgenre: femmeanniversaire : 06/11Orientation sexuelle: OuverteSituation conjugale: Néant
Aptitudes et atouts de survivant
Apparence
Carnation : Mate, bronzée
Taille : 1m70
Corpulence | poids : 73kg pour une carrure élancée et athlétique
Cheveux: Bruns, souvent attachés
Yeux: Couleur noisette
Signes distinctifs: Un tatouage tribal le long du bras gauche, il lui arrive de loucher quand elle rit. Elle a les incisives du haut légèrement écartées l’une de l’autre (dents du bonheur). L'anneau qu'elle avait au nez lui a été arraché lors d'un combat, elle a maintenant une grosse cicatrice et un petit morceau de narine arraché.
Autre: Elle garde aussi sa tenue de prisonnière pour travailler mais aussi pour faire chier les gens. Elle porte presque constamment un masque de soudure sur le visage.
Personnalité
Passé
agora
Satya ShahGroupe : La Meute
Lieu de vie : Les Docks
Rôle : Bêta, mécano
Proches: Mei-Lynn Foster, bonne amie. Prescott Koenig, ancien ami au District.
Ancien métier : Trafiquante d’armes (en prison lors de la fin du monde)
Originaire de : New-York
Lieu de vie : Les Docks
Rôle : Bêta, mécano
Proches: Mei-Lynn Foster, bonne amie. Prescott Koenig, ancien ami au District.
Ancien métier : Trafiquante d’armes (en prison lors de la fin du monde)
Originaire de : New-York
Aptitudes et atouts de survivant
Porteur Sain : Oui
Le sait-il ?Pas encore
Ses armes : HK G36 + Batte de baseball
Sport pratiqué : Kickboxing pendant 9 années dès 16 ans.
Autre précision: Elle a appris à tirer à peu près au même moment.
Le sait-il ?Pas encore
Ses armes : HK G36 + Batte de baseball
Sport pratiqué : Kickboxing pendant 9 années dès 16 ans.
Autre précision: Elle a appris à tirer à peu près au même moment.
Apparence
Carnation : Mate, bronzée
Taille : 1m70
Corpulence | poids : 73kg pour une carrure élancée et athlétique
Cheveux: Bruns, souvent attachés
Yeux: Couleur noisette
Signes distinctifs: Un tatouage tribal le long du bras gauche, il lui arrive de loucher quand elle rit. Elle a les incisives du haut légèrement écartées l’une de l’autre (dents du bonheur). L'anneau qu'elle avait au nez lui a été arraché lors d'un combat, elle a maintenant une grosse cicatrice et un petit morceau de narine arraché.
Autre: Elle garde aussi sa tenue de prisonnière pour travailler mais aussi pour faire chier les gens. Elle porte presque constamment un masque de soudure sur le visage.
Personnalité
Satya a une personnalité explosive c’est le moins que l’on puisse dire. D’un très bon vivant, elle n’a pas sa langue dans sa poche et dit souvent tout ce qui lui passe par la tête que cela plaise ou non. Elle n’est également pas contre une bonne baston lorsque cette dernière se présente et n'hésite pas à porter le premier coup. L’ex trafiquante d’armes aime vivre dangereusement dans une certaine mesure, sur la ligne entre la vie et la mort, dans le but d’accomplir de grandes choses. Par de grandes choses elle entend souvent explosions, gros calibres et désormais, charniers à zombies. Certains voient en elle un véritable casse-cou, d'autres un véritable danger public.
Elle a tendance à valoriser les plus balèzes et rabaisser les plus faibles. Se considérant elle-même comme faisant partie de la première catégorie. Ce sont ses années de kick-boxing qui lui donnent une telle assurance, et elle était douée. En parallèle des séances en club et des compétitions, c’est dans la rue et ses allées sombres qu’elle avait plus l’occasion de mettre en pratique ce qu’elle avait appris.
Satya adore rire, faire des vannes au pire des moments, l'aide à garder une impression de contrôle même dans les situations les plus périlleuses. Aussi, il lui est très difficile de prononcer quelques mots pourtant simples tels que merci, aidez-moi, au secours, j'ai merdé, c'est ma faute..
A la base très égoïste vis à vis des gens qu'elle ne connaît pas ou très peu, Shah préfère sa la jouer en solo même si la fin du monde l’a poussée à changer cette habitude. Désormais, elle est capable de travailler en équipe mais elle aime essayer de diriger tout en ayant du mal à communiquer avec ses partenaires. Ses décisions peuvent sembler hâtives et irréfléchies mais elle a souvent un plan derrière la tête, qui, contre toute attente, se couronne souvent de succès.
Son esprit est vif et ça, elle le doit à des années d’emmerdes avec la police et les bandes rivales lorsqu'elle faisait du trafic d’armes, de stupéfiants et de la contrebande. Elle devait toujours avoir un ou deux plans B en réserve.
Elle a tendance à valoriser les plus balèzes et rabaisser les plus faibles. Se considérant elle-même comme faisant partie de la première catégorie. Ce sont ses années de kick-boxing qui lui donnent une telle assurance, et elle était douée. En parallèle des séances en club et des compétitions, c’est dans la rue et ses allées sombres qu’elle avait plus l’occasion de mettre en pratique ce qu’elle avait appris.
Satya adore rire, faire des vannes au pire des moments, l'aide à garder une impression de contrôle même dans les situations les plus périlleuses. Aussi, il lui est très difficile de prononcer quelques mots pourtant simples tels que merci, aidez-moi, au secours, j'ai merdé, c'est ma faute..
A la base très égoïste vis à vis des gens qu'elle ne connaît pas ou très peu, Shah préfère sa la jouer en solo même si la fin du monde l’a poussée à changer cette habitude. Désormais, elle est capable de travailler en équipe mais elle aime essayer de diriger tout en ayant du mal à communiquer avec ses partenaires. Ses décisions peuvent sembler hâtives et irréfléchies mais elle a souvent un plan derrière la tête, qui, contre toute attente, se couronne souvent de succès.
Son esprit est vif et ça, elle le doit à des années d’emmerdes avec la police et les bandes rivales lorsqu'elle faisait du trafic d’armes, de stupéfiants et de la contrebande. Elle devait toujours avoir un ou deux plans B en réserve.
Passé
Satya est le dernier de cinq fruits de l’arbre qu’était sa famille, mais c’est étonnamment aussi celui qui a pourri le plus vite.
Ses parents ainsi que ses quatre frères avaient déjà quitté l’Inde pour rejoindre les Etats-Unis, espérant réaliser ce fameux rêve américain qui portait tant de promesses. La jeunesse de Staya fut rythmée par la rude vie des quartiers les moins aisés de Staten Island, New York. Petite, elle était une enfant difficile et rebelle, cherchant l’attention de ses parents et de ses frères qui étaient tous très occupés à ramener un peu d’argent pour faire subsister tout le monde. Ce qui impactait fortement son comportement en classe, le même que chez elle, ne lui offrant que de piètres résultats dont elle se fichait de toute manière. C’est parce qu’elle était autant en manque de reconnaissance qu’elle accepta presque sans broncher, d’aider Ahaan, le second de la famille, à transporter de petits paquets jusqu’à une certaine adresse parce qu’apparemment “ personne n'embête les petites filles “ et il eut raison. Pendant quelques semaines, Satya faisait des aller-retours entre Staten Island et un petit garage automobile de Brooklyn pour délivrer ses colis.
Un jour, curieuse, au lieu de repartir immédiatement chez elle avec l’argent qu’on lui avait donné pour la livraison, Satya décida de rester un peu au garage. Elle avait alors treize ans et se découvrit une passion certaine pour la mécanique, démonter, remonter des véhicules. On ne lui faisait pas faire grand chose même lorsqu’elle demandait si elle pouvait participer, mais on discutait volontiers avec elle, enfin, pas tous. Mais elle se sentait plus reconnue ici que chez elle. A force de côtoyer ces gens, les années passèrent où elle découvrit que le gang qui opérait ici se faisait appeler les Crips.
Son attitude s’était plus que jamais dégradée, considérant les Crips comme une seconde famille, s’habillant en bleu, elle était devenue “ amie “ avec certains membres et continuait bien entendu ses livraisons qui lui garantissaient sa place auprès d’eux. En parallèle, la situation avec sa famille se dégrada plus que jamais quand les parents découvrirent ce qu’elle faisait de ses journées plutôt que d’aller en cours. Seul Ahaan continuait de lui parler. Mais lui aussi était vilipendé de toute manière.
La vie de Satya prit un tournant majeur lorsqu’une après midi alors qu’elle avait seize ans, une voiture qui passait devant le garage automobile s’arrêta brusquement pour laisser ses occupants vider leurs chargeurs de Mac 11 dans le garage. Trois Crips furent tués, mais aussi Ahaan, dans le drive-by mais Satya fut épargnée. Pendant près d’un mois après ce tragique incident, Satya n’adressa la parole à personne. Elle choisit sa véritable famille quand les Crips décidèrent de faire des représailles sanglantes tandis que de leur côté, ses autres frères, son sang, refusaient de faire quoi que ce soit. Rien n’aurait pu lui faire plus plaisir que d’être acceptée, plus ou moins, par les Crips.
Satya était très loyale et faisait tout ce que son gang lui demandait de faire, ou non. Elle commença à apprendre à se battre auprès des hommes et ne faisait pas semblant, cherchant à les impressionner. Avec elle, ils étaient bons, même si ce n’était qu’une façade, ils se montraient durs, protecteurs, une vraie famille. De vrais frères. En plus de vendre de la drogue, Satya pouvait aussi s’en prendre à ceux qui avaient des soucis avec le gang. Ce fut l’ère de ses premières dérouillées. La jeune fille s’entraînait désormais au kick-boxing à des prix réduits dans le club d’un des associés des Crips.
C’est à l’âge de ses dix-sept ans qu’elle eu l’occasion de venger Ahaan, ce n’est pas elle qui pressa la détente, mais elle était là pour voir le corps d’un des hommes présents dans cette voiture tomber au sol, d’une balle dans la tête, après avoir été roué de coups.
Elle avait tout vu, la gachette pressée, la balle qui partit à une vitesse dépassant l’entendement, la culasse reculer de manière élégante et précise, la douille et son subtil filet de fumée quitter l’étui et atterrir au sol dans un petit tintement presque harmonieux à ses oreilles. Ce fut l’élément déclencheur de sa seconde passion : les armes à feu.
A partir de là, les choses passèrent à la vitesse supérieure. Satya voulut une arme, elle se contenta dans un premier temps d’une petite arme de poing, basique mais mortelle. Ses Cuzz Crips lui offrirent une éducation rudimentaire des armes ainsi que quelques séances de tir quotidiennes. Avec une arme dans sa veste, Satya ne s’était jamais sentie aussi puissante, l’impression d’être une déesse toute puissante. Avec ça, elle terrorisait les mauvais payeurs, les associés dissidents, quiconque se mettait sur son chemin.
Cela attira l'attention sur elle qui cherchait à toujours toucher à plus d’armes en tout genre. Elle se retrouva à faire passer des armes venant d’un peu partout sur le compte des Crips à bord d’une camionnette et s’occupait des échanges et des transactions, tout en ayant l’opportunité de tester les pièces devant les acheteurs. La cadence infernale du Kriss Vector, de la FN P90 au recul brusque d’un AK-47 ou d’un FN Scar en passant par la puissance dévastatrice du SPAS-12, Satya vivait sa meilleure vie.
Le trafic d’armes devint sa spécialité et elle ne faisait presque plus que ça. La Crip était si soigneuse avec ses itinéraires, ses contacts et sa manière de stocker et transporter la marchandise qu’on lui vouait une confiance sans faille.
Malheureusement, au milieu de l’année 2033, une de ces transactions fut infiltrée par les forces de l’ordre. Satya, capturée après une très courte cavale et emprisonnée en Ohio dans une prison pour femmes. Elle avait 26 ans et était promise à un très long séjour en prison pour son affiliation avec le gang des Crips et ses activités personnelles.
Derrière les barreaux, la vie fut plus difficile que jamais. Elle recevait peu de soutiens entre ces murs et même si elle savait se défendre, personne ne peut vaincre un groupe de quatre personnes couvertes par des gardes.
L’humanité s’ouvre alors à un nouveau chapitre sanglant. Le virus de l’ISV-33 fait son apparition et très vite, les choses dégénèrent dans le monde. Depuis le réfectoire de la prison, elle n’avait que peu de temps pour voir la situation en Europe sur les flash d’informations, mais elle était toujours en émoi lorsqu’elle voyait des soldats armés tirer sur dieu sait quoi dans les rues de Pragues ou de Madrid.
Puis, inévitablement le virus arriva sur le sol américain. Vers août 2034, les effectifs des gardiens sont au strict minimum dans la prison et les émeutes sont fréquentes entre ces murs. En à peine quelques semaines le moment vient où les derniers gardiens quittent le navire pour rejoindre leurs familles et leurs proches, ils libèrent les détenues et la plupart quittent aussitôt les lieux.
Satya fait partie de ceux qui décident de rester parce qu’elles savent que la situation extérieure dégénère et que la prison leur offre une sécurité optimale. Le premier réflexe de Satya est de se rendre à l’armurerie pour attraper l’un des Mossberg de la police et de tirer une cartouche dans le ventre d’une co-détenue qui l’avait passée à tabac quelques mois auparavant. Ayant prévue de partir après ça vers New-York, elle se fait plutôt casser la gueule en bonne et due forme et enfermée à nouveau dans une cellule par les femmes restantes. Elle demeure encore et toujours une prisonnière.
Depuis la petite fenêtre de sa cellule, Satya parvient à voir le monde extérieur et découvre un avant-goût du chaos dans la petite ville où se situe la prison, Marysville, où l’armée n’a pas daigné laisser des troupes. Elle voit des colonnes de fumée s’élever, entend des coups de feu lointain parfois qui lui donnent des bouffées de chaleur, quelques femmes viennent lui raconter ce qu’il se passe. Elle découvre qu’une petite hiérarchie s’est mise en place dans la prison, que les anciennes détenues cherchent à survivre en pillant les habitations alentour, certaines décèdent. Elles parlent de zombies et de créatures démoniaques, des choses que Satya peut à peine entrevoir depuis sa cellule.
Quelques mois passent, et c’est en novembre que Satya voit enfin quelque chose de vraiment incroyable, un avion qui s’écrase non loin de là. Plusieurs jours après ça, les femmes amènent quelqu’un dans la cellule en face de la sienne. Un homme qui ne semble pas trop dans son assiette.
- Vous étiez dans l’avion ? Un jet privé ? Z’étiez une sorte d’homme d’affaire ? lui demande-t-elle.
- Ouais, en quelques sortes..
Comme ils n’ont que ça à faire, ils discutent. Les jours passent et Satya apprend des choses. Les femmes l’ont trouvée dans les décombres de l’avion, miraculeusement indemne et l’ont ramené lorsqu’elles ont découvert que l’avion en question était bel et bien Air Force One et que cet homme était un des gardes du corps du président Maxwell. Elle en apprend plus que durant ces six derniers mois..
Boston, Washington, New-York. Anéanties par les Enragés. La Crip n’a aucun doute sur le décès de toute sa famille, que ce soit sa famille biologique ou son gang. Que le président était à deux doigts de faire sauter la moitié du pays et que c’était lui, Prescott, qui avait participé à éviter ce désastre, perdant ainsi presque la vie. Mais il sait aussi autre chose, que ces Enragés ne vont pas s’arrêter là et qu’il faut absolument partir. Filer tout droit vers l’ouest.
Ensemble, ils discutent un peu de leurs vies. Aucun des deux ne semble véritablement apprécier l’autre, mais bon. Leur point commun de se retrouver tous les deux derrières les barreaux force une sorte d’entente entre eux.
Pendant des jours, Prescott s'époumone, hurlant aux anciennes détenues qu’il faut partir, qu’une horde d’infectés absolument gigantesque est en train d’arriver de l’est. Mais personne n’écoute.
Puis ils arrivent. Satya peut les entendre hurler. Des coups de feu fusent, Satya peut presque sentir la poudre dans l’air. Quelques-unes des filles se précipitent ensuite pour ouvrir sa cellule ainsi que celle de Prescott et les libérer, pour une raison qui échappe sincèrement à Satya, on lui passe des menottes et on défend quiconque de lui fournir une arme.
Elles prévoient d’utiliser un bus pour faire partir tout le monde. Dès lors que le groupe de femmes se sépare dans le dédale des couloirs, une des anciennes détenues s’occupe de les guider vers un des garages où se situent les bus. C’est là que Satya voit une opportunité.
Elle bondit sans prévenir sur la femme et commence à l’étrangler avec la chaine de ses menottes.
- Mais qu’est-ce que tu fous espèce de dégénérée ?! demande Prescott qui se précipite pour essayer de lui faire lâcher prise.
- La ferme ! Recule ! Je la tue, ça s’voit pas ? Ecoute, ce bus c’est d’la merde. Pas avec elles. s’exclame Satya
Prescott l’observe alors, ôter la vie d’une femme en baissant la tête, visiblement en conflit avec lui-même mais finalement, la fille désormais à genoux rend son dernier souffle et tombe face contre le sol froid de la prison. Satya se redresse et pointe de ses deux mains menottées quelque chose qu’elle a vu dès son arrivée dans le garage, chose qui l’a faite passer à l’action.
- On va se tirer avec ça, Cuzz..
Une jeep de l’armée avec une.. Magnifique tourelle de calibre 50. montée à l’arrière. Elle semble un peu vieille mais fera amplement l’affaire.
- Oui, avec ça on ira beaucoup plus vite et beaucoup plus manoeuvrable qu’un bus. Allez, on se dépêche.
Sans se faire prier, Satya s’élance vers la grande porte de garage et presse un bouton d’ouverture automatique. Il y a un boucan phénoménal et même s’il ne faut que quelques secondes à la femme pour rejoindre l’arrière de la jeep tandis que Prescott chercher à la démarrer et que le moteur crachotte à peine, des Enragés sont déjà en train d’acourir.
Mais une immense partie d’entre eux est occupée par la bataille qui fait rage partout dans la prison. Les Anciennes détenues d’un côté face à des Enragés ultra rapides. Prescott voit son acolyte se ruer sur la tourelle.
- Oooh.. Ouais. dit-elle en s'emparant de l’arme.
- Qu’est-ce que tu fous ? Oh, Seigneur. Écoute, on devrait pas inverser, tu sais te servir de ç..
L’homme se voit interrompu par une salve continue de calibre 50. qui fauche à la fois la horde et les survivantes. Malgré ses menottes, Satya se sert de l’arme montée et de sa puissance ravageuse. Pour la première fois depuis des moins, elle se sent vivante et complètement boostée par l’adrénaline, alors que Prescott démarre enfin et qu’ils sortent du garage.
Hurlant de rage, de libération et par plaisir, la détente continuellement appuyée, les balles exterminent sans distinction survivantes comme infectés.
Prescott fait de son mieux pour esquiver les Enragés et suit la route pour rejoindre la sortie.
- BOUFFEZ ! CREVEZ ! CREVEEEEEEZ HAHAHAHAHA Scande Satya qui ne s’arrête pas.
- Tu tires sur des GENS !
- OUUUUUUUUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS !
La sortie de l’enceinte pénitentiaire se fait dans le sang et les tripes. Prescott roule sur plusieurs kilomètres et s’arrête au beau milieu d’un terrain vague et vide de toute menace. Il sort de la jeep et Satya descend à son tour.
- C’était PUTAIN de démentiel ! J’ai jam..
Un coup de poing décoché par Prescott l’envoie à terre, il commence à lui faire un sermon. Satya se relève, ses poignets toujours liés au fer, elle se sert de ses jambes et de ses années de kick-boxing pour répliquer. Des coups sont échangés, seulement l’ancien garde du corps la maîtrise, la plaque au sol et l’immobilise à l’aide de son genou.
- Tu as tué au moins.. Cinquante personnes et provoqué la mort de presque une centaine d’autres !
- Huhuhu tu vas faire quoi ? Y retourner et recoller les morceaux ? ricane Satya.
- Je ne sais pas ce qui me retient de te tuer, tout comme tu as assassiné cette pauvre gamine là-bas.
- Parce que t’es reconnaissant qu’j’ai sauvé ton petit cul de V.I.P en costard cravate, ça doit être ça. Lâche moi putain !
Elle semble alors marquer un point parce qu’il tarde à répondre. La femme reprend donc la parole.
- J’déteste l’admettre Cuzz mais on arrivera à rien si on bosse en solo. Va falloir que tu m’laisse me relever et que tu m’enlèves ces putain de menottes.
Prescott soupire longuement et rompt son emprise sur Satya qui se relève en époussetant sa tenue orange de prisonnière.
Non sans un peu de difficulté, Prescott parvient à retirer les menottes dans la station service à quelques kilomètres de là avec un tournevis. C’est le début d’une collaboration houleuse entre les deux survivants issus de mondes totalement différents. S’ils ne se font pas confiance durant les premières semaines, c’est à force de s’entraider et de veiller l’un sur l’autre qu’une véritable entente se noue entre eux.
Sur le chemin jusqu’à l’Ouest, Satya et Prescott font diverses escales dans des armureries pour renflouer l’arme montée qui sert un peu trop au goût de l’ancienne garde rapprochée du président. Mais aussi pour satisfaire l’éternelle soif de Satya en ce qui concerne les armes et leur maniement. Des milliers de munitions sont tirées au cours de ce long et fastidieux périple.
En Juin 2035 après de nombreuses haltes, détours et autres problèmes, ils arrivent à Los Angeles pour n’y découvrir que des cendres et des Enragés. La ville aura subi de nombreux dégâts avant sa chute. Les survivants se rendent ensuite à San Francisco où ils découvrent qu’il reste un peu d’activité humaine. Prescott reconnaît ce qui semble avoir été les fortifications de l’armée américaine et ils s’y rendent sans se faire prier à bord de la jeep.
Un soldat leur somme de faire entrer doucement le véhicule. Une fois à l’intérieur, l’un des militaires s’exclame que Satya porte une tenue de prisonnière. La tension n’a cependant pas le temps de monter que Prescott sort de sa veste un petit porte-carte avec un badge et une sorte de pièce d’identité.
- Accréditation présidentielle. Elle est avec moi, laissez la entrer.
Ses parents ainsi que ses quatre frères avaient déjà quitté l’Inde pour rejoindre les Etats-Unis, espérant réaliser ce fameux rêve américain qui portait tant de promesses. La jeunesse de Staya fut rythmée par la rude vie des quartiers les moins aisés de Staten Island, New York. Petite, elle était une enfant difficile et rebelle, cherchant l’attention de ses parents et de ses frères qui étaient tous très occupés à ramener un peu d’argent pour faire subsister tout le monde. Ce qui impactait fortement son comportement en classe, le même que chez elle, ne lui offrant que de piètres résultats dont elle se fichait de toute manière. C’est parce qu’elle était autant en manque de reconnaissance qu’elle accepta presque sans broncher, d’aider Ahaan, le second de la famille, à transporter de petits paquets jusqu’à une certaine adresse parce qu’apparemment “ personne n'embête les petites filles “ et il eut raison. Pendant quelques semaines, Satya faisait des aller-retours entre Staten Island et un petit garage automobile de Brooklyn pour délivrer ses colis.
Un jour, curieuse, au lieu de repartir immédiatement chez elle avec l’argent qu’on lui avait donné pour la livraison, Satya décida de rester un peu au garage. Elle avait alors treize ans et se découvrit une passion certaine pour la mécanique, démonter, remonter des véhicules. On ne lui faisait pas faire grand chose même lorsqu’elle demandait si elle pouvait participer, mais on discutait volontiers avec elle, enfin, pas tous. Mais elle se sentait plus reconnue ici que chez elle. A force de côtoyer ces gens, les années passèrent où elle découvrit que le gang qui opérait ici se faisait appeler les Crips.
Son attitude s’était plus que jamais dégradée, considérant les Crips comme une seconde famille, s’habillant en bleu, elle était devenue “ amie “ avec certains membres et continuait bien entendu ses livraisons qui lui garantissaient sa place auprès d’eux. En parallèle, la situation avec sa famille se dégrada plus que jamais quand les parents découvrirent ce qu’elle faisait de ses journées plutôt que d’aller en cours. Seul Ahaan continuait de lui parler. Mais lui aussi était vilipendé de toute manière.
La vie de Satya prit un tournant majeur lorsqu’une après midi alors qu’elle avait seize ans, une voiture qui passait devant le garage automobile s’arrêta brusquement pour laisser ses occupants vider leurs chargeurs de Mac 11 dans le garage. Trois Crips furent tués, mais aussi Ahaan, dans le drive-by mais Satya fut épargnée. Pendant près d’un mois après ce tragique incident, Satya n’adressa la parole à personne. Elle choisit sa véritable famille quand les Crips décidèrent de faire des représailles sanglantes tandis que de leur côté, ses autres frères, son sang, refusaient de faire quoi que ce soit. Rien n’aurait pu lui faire plus plaisir que d’être acceptée, plus ou moins, par les Crips.
Satya était très loyale et faisait tout ce que son gang lui demandait de faire, ou non. Elle commença à apprendre à se battre auprès des hommes et ne faisait pas semblant, cherchant à les impressionner. Avec elle, ils étaient bons, même si ce n’était qu’une façade, ils se montraient durs, protecteurs, une vraie famille. De vrais frères. En plus de vendre de la drogue, Satya pouvait aussi s’en prendre à ceux qui avaient des soucis avec le gang. Ce fut l’ère de ses premières dérouillées. La jeune fille s’entraînait désormais au kick-boxing à des prix réduits dans le club d’un des associés des Crips.
C’est à l’âge de ses dix-sept ans qu’elle eu l’occasion de venger Ahaan, ce n’est pas elle qui pressa la détente, mais elle était là pour voir le corps d’un des hommes présents dans cette voiture tomber au sol, d’une balle dans la tête, après avoir été roué de coups.
Elle avait tout vu, la gachette pressée, la balle qui partit à une vitesse dépassant l’entendement, la culasse reculer de manière élégante et précise, la douille et son subtil filet de fumée quitter l’étui et atterrir au sol dans un petit tintement presque harmonieux à ses oreilles. Ce fut l’élément déclencheur de sa seconde passion : les armes à feu.
A partir de là, les choses passèrent à la vitesse supérieure. Satya voulut une arme, elle se contenta dans un premier temps d’une petite arme de poing, basique mais mortelle. Ses Cuzz Crips lui offrirent une éducation rudimentaire des armes ainsi que quelques séances de tir quotidiennes. Avec une arme dans sa veste, Satya ne s’était jamais sentie aussi puissante, l’impression d’être une déesse toute puissante. Avec ça, elle terrorisait les mauvais payeurs, les associés dissidents, quiconque se mettait sur son chemin.
Cela attira l'attention sur elle qui cherchait à toujours toucher à plus d’armes en tout genre. Elle se retrouva à faire passer des armes venant d’un peu partout sur le compte des Crips à bord d’une camionnette et s’occupait des échanges et des transactions, tout en ayant l’opportunité de tester les pièces devant les acheteurs. La cadence infernale du Kriss Vector, de la FN P90 au recul brusque d’un AK-47 ou d’un FN Scar en passant par la puissance dévastatrice du SPAS-12, Satya vivait sa meilleure vie.
Le trafic d’armes devint sa spécialité et elle ne faisait presque plus que ça. La Crip était si soigneuse avec ses itinéraires, ses contacts et sa manière de stocker et transporter la marchandise qu’on lui vouait une confiance sans faille.
Malheureusement, au milieu de l’année 2033, une de ces transactions fut infiltrée par les forces de l’ordre. Satya, capturée après une très courte cavale et emprisonnée en Ohio dans une prison pour femmes. Elle avait 26 ans et était promise à un très long séjour en prison pour son affiliation avec le gang des Crips et ses activités personnelles.
Derrière les barreaux, la vie fut plus difficile que jamais. Elle recevait peu de soutiens entre ces murs et même si elle savait se défendre, personne ne peut vaincre un groupe de quatre personnes couvertes par des gardes.
L’humanité s’ouvre alors à un nouveau chapitre sanglant. Le virus de l’ISV-33 fait son apparition et très vite, les choses dégénèrent dans le monde. Depuis le réfectoire de la prison, elle n’avait que peu de temps pour voir la situation en Europe sur les flash d’informations, mais elle était toujours en émoi lorsqu’elle voyait des soldats armés tirer sur dieu sait quoi dans les rues de Pragues ou de Madrid.
Puis, inévitablement le virus arriva sur le sol américain. Vers août 2034, les effectifs des gardiens sont au strict minimum dans la prison et les émeutes sont fréquentes entre ces murs. En à peine quelques semaines le moment vient où les derniers gardiens quittent le navire pour rejoindre leurs familles et leurs proches, ils libèrent les détenues et la plupart quittent aussitôt les lieux.
Satya fait partie de ceux qui décident de rester parce qu’elles savent que la situation extérieure dégénère et que la prison leur offre une sécurité optimale. Le premier réflexe de Satya est de se rendre à l’armurerie pour attraper l’un des Mossberg de la police et de tirer une cartouche dans le ventre d’une co-détenue qui l’avait passée à tabac quelques mois auparavant. Ayant prévue de partir après ça vers New-York, elle se fait plutôt casser la gueule en bonne et due forme et enfermée à nouveau dans une cellule par les femmes restantes. Elle demeure encore et toujours une prisonnière.
Depuis la petite fenêtre de sa cellule, Satya parvient à voir le monde extérieur et découvre un avant-goût du chaos dans la petite ville où se situe la prison, Marysville, où l’armée n’a pas daigné laisser des troupes. Elle voit des colonnes de fumée s’élever, entend des coups de feu lointain parfois qui lui donnent des bouffées de chaleur, quelques femmes viennent lui raconter ce qu’il se passe. Elle découvre qu’une petite hiérarchie s’est mise en place dans la prison, que les anciennes détenues cherchent à survivre en pillant les habitations alentour, certaines décèdent. Elles parlent de zombies et de créatures démoniaques, des choses que Satya peut à peine entrevoir depuis sa cellule.
Quelques mois passent, et c’est en novembre que Satya voit enfin quelque chose de vraiment incroyable, un avion qui s’écrase non loin de là. Plusieurs jours après ça, les femmes amènent quelqu’un dans la cellule en face de la sienne. Un homme qui ne semble pas trop dans son assiette.
- Vous étiez dans l’avion ? Un jet privé ? Z’étiez une sorte d’homme d’affaire ? lui demande-t-elle.
- Ouais, en quelques sortes..
Comme ils n’ont que ça à faire, ils discutent. Les jours passent et Satya apprend des choses. Les femmes l’ont trouvée dans les décombres de l’avion, miraculeusement indemne et l’ont ramené lorsqu’elles ont découvert que l’avion en question était bel et bien Air Force One et que cet homme était un des gardes du corps du président Maxwell. Elle en apprend plus que durant ces six derniers mois..
Boston, Washington, New-York. Anéanties par les Enragés. La Crip n’a aucun doute sur le décès de toute sa famille, que ce soit sa famille biologique ou son gang. Que le président était à deux doigts de faire sauter la moitié du pays et que c’était lui, Prescott, qui avait participé à éviter ce désastre, perdant ainsi presque la vie. Mais il sait aussi autre chose, que ces Enragés ne vont pas s’arrêter là et qu’il faut absolument partir. Filer tout droit vers l’ouest.
Ensemble, ils discutent un peu de leurs vies. Aucun des deux ne semble véritablement apprécier l’autre, mais bon. Leur point commun de se retrouver tous les deux derrières les barreaux force une sorte d’entente entre eux.
Pendant des jours, Prescott s'époumone, hurlant aux anciennes détenues qu’il faut partir, qu’une horde d’infectés absolument gigantesque est en train d’arriver de l’est. Mais personne n’écoute.
Puis ils arrivent. Satya peut les entendre hurler. Des coups de feu fusent, Satya peut presque sentir la poudre dans l’air. Quelques-unes des filles se précipitent ensuite pour ouvrir sa cellule ainsi que celle de Prescott et les libérer, pour une raison qui échappe sincèrement à Satya, on lui passe des menottes et on défend quiconque de lui fournir une arme.
Elles prévoient d’utiliser un bus pour faire partir tout le monde. Dès lors que le groupe de femmes se sépare dans le dédale des couloirs, une des anciennes détenues s’occupe de les guider vers un des garages où se situent les bus. C’est là que Satya voit une opportunité.
Elle bondit sans prévenir sur la femme et commence à l’étrangler avec la chaine de ses menottes.
- Mais qu’est-ce que tu fous espèce de dégénérée ?! demande Prescott qui se précipite pour essayer de lui faire lâcher prise.
- La ferme ! Recule ! Je la tue, ça s’voit pas ? Ecoute, ce bus c’est d’la merde. Pas avec elles. s’exclame Satya
Prescott l’observe alors, ôter la vie d’une femme en baissant la tête, visiblement en conflit avec lui-même mais finalement, la fille désormais à genoux rend son dernier souffle et tombe face contre le sol froid de la prison. Satya se redresse et pointe de ses deux mains menottées quelque chose qu’elle a vu dès son arrivée dans le garage, chose qui l’a faite passer à l’action.
- On va se tirer avec ça, Cuzz..
Une jeep de l’armée avec une.. Magnifique tourelle de calibre 50. montée à l’arrière. Elle semble un peu vieille mais fera amplement l’affaire.
- Oui, avec ça on ira beaucoup plus vite et beaucoup plus manoeuvrable qu’un bus. Allez, on se dépêche.
Sans se faire prier, Satya s’élance vers la grande porte de garage et presse un bouton d’ouverture automatique. Il y a un boucan phénoménal et même s’il ne faut que quelques secondes à la femme pour rejoindre l’arrière de la jeep tandis que Prescott chercher à la démarrer et que le moteur crachotte à peine, des Enragés sont déjà en train d’acourir.
Mais une immense partie d’entre eux est occupée par la bataille qui fait rage partout dans la prison. Les Anciennes détenues d’un côté face à des Enragés ultra rapides. Prescott voit son acolyte se ruer sur la tourelle.
- Oooh.. Ouais. dit-elle en s'emparant de l’arme.
- Qu’est-ce que tu fous ? Oh, Seigneur. Écoute, on devrait pas inverser, tu sais te servir de ç..
L’homme se voit interrompu par une salve continue de calibre 50. qui fauche à la fois la horde et les survivantes. Malgré ses menottes, Satya se sert de l’arme montée et de sa puissance ravageuse. Pour la première fois depuis des moins, elle se sent vivante et complètement boostée par l’adrénaline, alors que Prescott démarre enfin et qu’ils sortent du garage.
Hurlant de rage, de libération et par plaisir, la détente continuellement appuyée, les balles exterminent sans distinction survivantes comme infectés.
Prescott fait de son mieux pour esquiver les Enragés et suit la route pour rejoindre la sortie.
- BOUFFEZ ! CREVEZ ! CREVEEEEEEZ HAHAHAHAHA Scande Satya qui ne s’arrête pas.
- Tu tires sur des GENS !
- OUUUUUUUUAIIIIIIIIIIIIIIIIIIIIS !
La sortie de l’enceinte pénitentiaire se fait dans le sang et les tripes. Prescott roule sur plusieurs kilomètres et s’arrête au beau milieu d’un terrain vague et vide de toute menace. Il sort de la jeep et Satya descend à son tour.
- C’était PUTAIN de démentiel ! J’ai jam..
Un coup de poing décoché par Prescott l’envoie à terre, il commence à lui faire un sermon. Satya se relève, ses poignets toujours liés au fer, elle se sert de ses jambes et de ses années de kick-boxing pour répliquer. Des coups sont échangés, seulement l’ancien garde du corps la maîtrise, la plaque au sol et l’immobilise à l’aide de son genou.
- Tu as tué au moins.. Cinquante personnes et provoqué la mort de presque une centaine d’autres !
- Huhuhu tu vas faire quoi ? Y retourner et recoller les morceaux ? ricane Satya.
- Je ne sais pas ce qui me retient de te tuer, tout comme tu as assassiné cette pauvre gamine là-bas.
- Parce que t’es reconnaissant qu’j’ai sauvé ton petit cul de V.I.P en costard cravate, ça doit être ça. Lâche moi putain !
Elle semble alors marquer un point parce qu’il tarde à répondre. La femme reprend donc la parole.
- J’déteste l’admettre Cuzz mais on arrivera à rien si on bosse en solo. Va falloir que tu m’laisse me relever et que tu m’enlèves ces putain de menottes.
Prescott soupire longuement et rompt son emprise sur Satya qui se relève en époussetant sa tenue orange de prisonnière.
Non sans un peu de difficulté, Prescott parvient à retirer les menottes dans la station service à quelques kilomètres de là avec un tournevis. C’est le début d’une collaboration houleuse entre les deux survivants issus de mondes totalement différents. S’ils ne se font pas confiance durant les premières semaines, c’est à force de s’entraider et de veiller l’un sur l’autre qu’une véritable entente se noue entre eux.
Sur le chemin jusqu’à l’Ouest, Satya et Prescott font diverses escales dans des armureries pour renflouer l’arme montée qui sert un peu trop au goût de l’ancienne garde rapprochée du président. Mais aussi pour satisfaire l’éternelle soif de Satya en ce qui concerne les armes et leur maniement. Des milliers de munitions sont tirées au cours de ce long et fastidieux périple.
En Juin 2035 après de nombreuses haltes, détours et autres problèmes, ils arrivent à Los Angeles pour n’y découvrir que des cendres et des Enragés. La ville aura subi de nombreux dégâts avant sa chute. Les survivants se rendent ensuite à San Francisco où ils découvrent qu’il reste un peu d’activité humaine. Prescott reconnaît ce qui semble avoir été les fortifications de l’armée américaine et ils s’y rendent sans se faire prier à bord de la jeep.
Un soldat leur somme de faire entrer doucement le véhicule. Une fois à l’intérieur, l’un des militaires s’exclame que Satya porte une tenue de prisonnière. La tension n’a cependant pas le temps de monter que Prescott sort de sa veste un petit porte-carte avec un badge et une sorte de pièce d’identité.
- Accréditation présidentielle. Elle est avec moi, laissez la entrer.
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# Re: For shits and giggles | Satya [QC Soo-Yun, Howard, Helen] Terminé Lun 26 Juil - 17:11
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# Re: For shits and giggles | Satya [QC Soo-Yun, Howard, Helen] Terminé Lun 26 Juil - 22:34
Aw je la veux... dans mon équipe !
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# Re: For shits and giggles | Satya [QC Soo-Yun, Howard, Helen] Terminé Mar 27 Juil - 20:55
Bon, tout me semble cohérent et correct. Le règlement a bien été signé. Du coup, je te valide et je te rajoute ta couleur violette.
N'oublie pas de compléter ton profil, pour que les informations de base s'affichent pour tes partenaires lors de tes RP et de passer par le bottin des avatars, ainsi que celui du registre des membres. Penses aussi à aller faire ton profil de compétence dans cette zone, si tu as besoin d'aides ou de renseignements pour le faire n'hésites pas à demander au staff.
Maintenant que tu es validé, tu peux créer ton journal et tu peux regarder la zone des demandes de RP pour trouver un partenaire de RP. N'hésites pas à répondre aux demandes existantes avant de créer la tienne.
Bon jeu à toi !
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Aventures : 88
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