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La Voix de la VieLa gardienne
# Chronologie des Etats-UnisVen 12 Fév - 14:49
Chronologie des Etats-unis

2034 :

Mai :

Premiers cas de réanimation d’un patient atteint par l’ISV-33, le gouvernement américain, dirigé par le président Chris Maxwell fraîchement réélu pour son second mandat, cherche à étouffer l’information. Le jour suivant les premiers incidents, des agents spéciaux sont envoyés pour tenter d’endiguer la propagation en éliminant toutes les personnes atteintes dans les hôpitaux et dissuader quelques témoins directs. Si cela semble marcher durant la première semaine, les réseaux sociaux démontrent bien vite que quelque chose se trame sur le sol américain. Suivant la situation désastreuse en Europe, Maxwell ferme les frontières de son pays tout comme de très nombreux autres pays.


Juin :

Les frontières avec le Canada et le Mexique désormais complètement fermées. C’est également le début des opérations militaires pour fortifier les villes majeures du pays. Presque toutes les grandes villes voient l’armée défiler dans ses rues et investir des quartiers tout entiers, créant des Districts sécurisés dans des zones stratégiques. Certaines villes accueillent les soldats à bras ouverts tandis que d’autres sont plus réticentes, c’est à Détroit que l’apparition de l’armée est la plus controversée. Mais globalement aucun souci majeur n’est relevé nulle part. Le 17 Juin marque le jour où tout est rendu public et officiel sur la situation lors d’une conférence de presse organisée par le gouvernement Maxwell. La panique s’empare du pays, mais le gouvernement assure que tout est sous contrôle.


Août :

Les zones rurales et les plus petites villes qui n’ont pas été choisies pour devenir des zones sûres sont vite désertées. Certaines de ces plus petites métropoles s’organisent pour se fortifier sans l’aide de l’armée, mais globalement la population explose drastiquement dans les 31 villes américaines fortifiées par le gouvernement. Énormément de disparitions sont recensées dans tout le pays. Les organisations gouvernementales ont du mal à accueillir l’affluence de réfugiés ainsi qu’à tester tout le monde. De petits incidents éclatent mais la grande majorité est gérée et les infectés neutralisés.


Septembre :

Chris Maxwell s’affaire jour et nuit à gérer la situation dans toutes les villes du monde depuis la Maison Blanche. Il ordonne rapidement de nombreuses directives controversées par les populations et l’armée. Diminuer le nombre de patrouilles externes aux Districts visant à évacuer des civils coincés, abattre à vue les citoyens contaminés.. Il demande aussi d’abattre toute personne non-américaine sur le sol américain mais cette consigne n’est pas  respectée par les soldats qui jugent que les réfugiés sont de toute manière trop nombreux et qu’il est trop difficile de déterminer qui est américain et qui ne l’est pas. Cependant, l’armée accepte de suivre l’ordre concernant les véhicules en approche des USA tels que les avions ou les bateaux, systématiquement abattus. Même s’ils sont peu, quelques avions rescapés d’Europe, d’Asie ou bien du Mexique et du Canada sont abattus de cette manière. Des bateaux de toutes sortes sont coulés. Certains étaient des avions de ligne, des bateaux cargo bourrés de réfugiés, mais aussi de plus petits véhicules de plaisance.



Octobre :

De plus en plus d’incidents sont recensés aux quatre coins du pays. Le contact a été perdu depuis bien longtemps avec la plupart des milices fortifiées par les citoyens américains. Les soldats encore en poste aux frontières sont rapatriés aux villes les plus proches. L’aviation américaine lance des frappes sur les villes canadiennes et mexicaines proches des frontières dans l’espoir de stopper l’avancée des Enragées vers les USA mais cela semble avoir l’effet inverse, les explosions attirent des milliers de contaminés vers le pays. A la fin du mois, les villes de El Paso et Brownsville sont les premières à cesser totalement d’émettre, envahies par des hordes d’Enragés arrivant tout droit du Mexique. Ces pertes catastrophiques ne sont cependant pas dévoilées au public. L’emploi de l’arme nucléaire est envisagé par le président Maxwell, mais l’opération est finalement annulée.


Novembre :

Le pays est fracturé de toutes parts. La ville de Boston, en proie au chaos suite aux invasions répétées d’immigrés canadiens, eux-mêmes poursuivis par des Enragés, finit par s’effondrer. Les soldats se replient, laissant le chemin vers New York et Washington DC grand ouvert aux créatures assoiffées de sang. Des soldats survivants de Boston amènent sans le savoir le virus entre les murs de certains District new yorkais. Avec une population approchant les 12 millions d’habitants, civils pour la plupart, l’infection se répand comme une traînée de poudre dans toute la ville. En à peine quinze jours, la mégapole est considérée comme perdue. Le président fait bombarder la ville et prépare son évacuation, alors toujours posté à Washington DC. Une vague de plusieurs millions d’Enragés commence son avancée dans tout l’est du pays. Parallèlement, les civils de Detroit commencent à se révolter. La vague d’Enragés ne tarde pas à engloutir la majorité des grandes villes de l’est. Le président américain s’enfuit de justesse de la Maison Blanche, il ordonne cette fois le lancement de l’arme nucléaire directement sur la capitale mais plusieurs membres de sa garde rapprochée cherchent à l’en empêcher. Une sorte de mutinerie éclate à bord d’Air Force One, résultant au crash de ce dernier quelque part dans l’Ohio, empêchant l’arme atomique d’être déployée. Malheureusement, cela n’empêche pas pour autant l’implacable avancée des infectés dans tout le pays qui n’a désormais plus personne à sa tête.


Décembre :

Dans les premiers jours de décembre, la chute de Seattle et de Portland sont annoncées au nord-ouest du pays. Les citoyens, en proie à la panique depuis le décès du président, créent des mouvements de foule dans les villes restantes. San Diego et Phoenix tombent ensuite. A l’est, seule Miami semble tenir bon grâce à sa position stratégique. Mis à part cette dernière, quasiment toutes les autres villes cessent d’émettre dans le courant du mois. L’armée ne cesse de reculer vers l'ouest. Chicago, St Louis, Kansas City, Denver et Salt Lake City tombent à leurs tours après des jours de combats acharnés. Le plus gros des forces armées restantes sont envoyées à Los Angeles et San Francisco. Sacramento est abandonnée aux mains des infectés presque sans aucun combat. Le 27 décembre, Miami, dernier bastion de l’est des Etats-Unis, tombe et cesse d’émettre. Le 30 décembre, c’est au tour de Los Angeles. Enfin, le dernier jour de l'année 2034, l’ultime ville américaine, San Francisco, s’agenouille face à la horde.


2035

Janvier :

Des nombreux Districts fortifiés de l’armée américaine, seul un a réchappé à l’annihilation. Faisant profil bas pour ne pas attirer l’attention des millions de contaminés rôdant dans les rues de la ville, les citoyens et soldats s’activent et s’organisent. Renommant la zone sûre District Ashes.


Février :

Quelques activités survivantes sont relevées hors des murs de la dernière zone sûre de San Francisco. Quelques contacts sont établis avec des groupes de civils éparpillés dans la ville et ses alentours, plusieurs missions de sauvetage sont organisées. Tous racontent les histoires déchirantes de villes envahies, de petites communautés rudimentaires s'effondrant sous les assauts des enragés. La plupart des rescapés sont en tout cas heureux de retrouver de la stabilité, de la sécurité et une présence militaire.


Mai :

Une énorme horde en provenance de Salt Lake City arrive à San Francisco le 25 du mois et se heurte aux défenses du District qui parvient grâce au courage des soldats mais aussi des civils, à tenir le coup. Les pertes à déplorer sont alors minimes et ainsi, un soupçon d'espoir renaît dans le cœur des survivants qui voyaient déjà la catastrophe arriver à grands pas. C'est après avoir vaincu cette immense troupe d'infectés lents, patauds et prévisibles avec toute la force de frappe du District qu'on réalise qu'avec le temps les infectés perdent de leur vivacité implacable et que les menaces peuvent êtres gérées avec une bonne préparation et une bonne cohésion. Plusieurs projets sont alors envisagés au sein du District.


Juillet :

Pour remercier les survivants solitaires non-affiliés au District Ashes, une journée de détente est organisée.. Sur la parcelle de plage du District ! Renforçant ainsi les liens fragiles entre habitants, soldats et solitaires. Une confiance mutuelle précaire naquit entre les soldats et ceux qui ont choisi de rester en dehors des murs. Les solitaires savent qu'ils peuvent le rester, que personne ne les forcera à rejoindre de force la zone sûre. A partir de ce mois, on relève beaucoup moins de comportements tendu lors des interactions en dehors des murs. Cependant, au lendemain de cet événement agréable, un petit groupe de soldats décida de tenter sa chance en solitaire en dérobant des ressources au District. Cette escouade de renégats fut pourchassée et tout ne se passa pas comme prévu. Plusieurs pertes furent à déplorer parmi le groupe de poursuivants ainsi que chez les déserteurs dont les survivants parvinrent à s'enfuir, même si une partie du butin dérobé fut sécurisé et rapatrié au District.


Septembre :

Lors du mois de septembre, après un mois d'août relativement tranquille, le District organise une campagne d'entraînement pour les civils volontaires des quartiers sûrs ainsi que pour les solitaires volontaires ayant reçu l'information par le biais de messages radios et de quelques affiches placardées par les soldats dans les alentours du District. Pendant trois jours, des soldats apprennent à de petits groupes comment se battre, tirer, survivre. Cela avait pour but d'une fois encore renforcer les liens amicaux entre le District et les micro-communautés alentours, mais aussi à donner une meilleure chance au survivants les moins aptes à la survie en cas de problème. Tout le monde y trouva son compte et aucun incident ne fut recensé.


Octobre :

Comme pour donner tort à ceux qui pensaient que tous les gens encore en vie avaient un seul et même ennemi commun, les infectés, pour le jour d'Halloween un ou plusieurs survivants dérangés ont kidnappé plusieurs solitaires et résidents du District pour les faire participer à une sorte de jeu dément. Si aucun décès ne fut à déplorer, on ne retrouva cependant jamais l'instigateur de ces épreuves et son passage a laissé des séquelles aux survivants qui lui ont servi de divertissement lors de cette soirée. Tous ne craignent qu'une chose, qu'il survive assez longtemps pour recommencer l'année suivante. Pour ne rien arranger, au cours du mois un nouveau groupe conséquent a fait son apparition en ville, tout droit venu d'Oakland, ceux qui se font appeler les Vautours ont investi un cinéma au nord-est de la ville et ils sont ce que la fin du monde a fait de pire : des humains sans foi ni loi qui prennent sans demander en usant de la force. S'ils ne s'attaquent pas aux trop gros groupes ni aux militaires, ils sont dangereux pour les voyageurs solitaires et les groupuscules de survivants..


Novembre :

Au milieu du mois, une micro-communauté commence à sortir du lot dans la ville de San Francisco. Habitants comme Solitaires entendent parler d'un groupe de commerçants prêt à accueillir le temps d'une nuit quiconque sera prêt à se rendre utile pour eux. Résidant au Townhouse Motel, au nord-est du quartier de Cow Hollw, une zone relativement tranquille même si les morts rôdent toujours. Dans un premier temps, nombreux sont ceux qui pensent à une arnaque, des voleurs cherchant à extorquer les ressources des voyageurs assez naïfs pour s'y rendre. Mais force est de reconnaître qu'il n'en est rien, les Troqueurs, comme ils se font appeler, sont peu nombreux mais au fil des semaines leurs rangs grossissent grâce à la stabilité de l'organisation et à l'honnêteté de ses membres, sans parler du charisme d'un chef aux épaules solides. Ils sont dores et déjà une cible de choix pour les Vautours, mais les Troqueurs reçoivent le soutien officieux des soldats du District, ce qui leur permet de subsister.


Décembre :

Les chutes de neige spectaculaires ont pour effet de donner du répit aux survivants. En effet les infectés sont moins mobiles à cause de la neige. La baisse des températures force tous les survivants à se tenir tranquilles et même si aucune fête officielle n'est organisée par le District, de nombreux habitants décident malgré tout de fêter Noël en petits comités pour tenter de retrouver un peu de joie et de légèreté dans ce monde brutal. Aussi, les contacts avec des survivants à l'extérieur de la ville se faisant de plus en plus rares, tout le monde fut surprit de découvrir qu'une icone de la mode avait survécu tout ce temps sur un Yacht avant de rejoindre le District, comme quoi.


2036 :

Janvier :

Au début de cette nouvelle année, le groupe des Troqueurs commence à prendre toujours un peu plus d'ampleur, son nombre de membre augmente et le noyau central de ce dernier est désormais solide et soudé. Outre ce fait, au District les choses commencent à se corser au niveau des ressources, les expéditions pour trouver nourriture, médicaments et munitions doivent se faire de plus en plus loin pour avoir des résultats corrects. Quelques cas de disparitions chez les militaires, possiblement des désertions, sont également relevées.


Février :

Les choses sont très calmes en ce mois de février dans la ville de San Francisco. Les affaires s'améliorent petit à petit chez les Troqueurs qui se font toujours connaître à leur échelle, mais c'est surtout du côté des militaires du District que ça bouge. En effet, une vague notable de nouvelles recrues soulage l'effectif jusqu'alors légèrement en déclin des soldats. Avec les quelques pertes et démissions des mois précédents, ce regain d'environ deux cent recrues dans le courant du mois est un véritable plus pour le corps de l'armée américaine. Malheureusement, il n'y a pas que des bonnes nouvelles et même si ce n'est pas encore très dramatique, sur l'USS Enterprise, on commence à s'inquiéter du manque à venir de ressources pour le District. On consomme les denrées trop vite et on en retrouve pas assez. La création d'un plan d'action est entamée.


Mars :

En ville, légère recrudescence du nombre de survivants isolés. Difficile de savoir d'où viennent tous ces gens, mais on peut supposer que ce sont des survivants de tout le continent ayant entendu parler du District et qui souhaitent s'en rapprocher. Tous ne rejoignent pas les murs cependant. On parle de survivants en provenance du Canada, du Mexique, de Russie ? Et bien sûr et surtout, du reste des Etats-Unis. Mais en parlant des murs, c'est surtout la mise en place de ce fameux plan d'action, concocté avec difficulté par les meilleurs ingénieurs militaires encore en vie sur le porte avion. Et juste à temps, les citoyens, dont la faim commence à creuser l'estomac petit à petit au fil des jours, commencent à faire connaître leur colère de plus en plus. La décision est donc prise, le District doit être agrandi pour englober une partie du parc juste au nord de celui-ci. De là, on fera pousser des fruits et des légumes pour survenir aux besoins de tous. On envisage de trouver du bétail, mais on ne sait pas encore où chercher. En tout cas, les travaux avancent rapidement mais quelques pertes sont tout de même à déplorer. De nombreux citoyens donnent de leur personne pour les travaux qui durent environ trois jours. Après quoi, une toute nouvelle branche de métier est mise en place concernant l'agriculture qui se met doucement en place. Les officiers sur l'USS Enterprise se félicitent grassement.

En parallèle de cet agrandissement du District émerge un nouveau groupe. Un petit groupe hétéroclite de survivants de toutes parts et tout horizons s'empare d'un paquebot commercial norvégien abandonné sur les docks de Mission Bay. Après plusieurs semaines de préparatifs, le groupe se compose de militaires ayant décidé de sortir du rang de l'armée, quelques citoyens marginaux mais aussi quelques solitaires triés sur le volet et motivés. Le point commun de tous ces survivants est leur force et  leur efficacité sur le terrain. Le but est clair dès le départ : offrir leurs services contre rémunération en biens. De ce fait, une entente est quasiment immédiatement nouée avec les Troqueurs qui sont leurs premiers véritables clients, ces derniers leur demandant de les protéger contre les Vautours toujours aussi virulents.


Mai :

Après l'accalmie, nouvelle crise. Et de taille ! Une nouvelle maladie sortie de nulle part semble s'être emparée de San Francisco. On devine que c'est à cause d'une viande contaminée, mais le manque de chercheurs compétents, et surtout le manque de temps contraignent la recherche de réponses. Tout ce qu'on sait, c'est qu'une violente maladie virulente fait rage aussi bien entre les murs du District que chez les survivants isolés et en micro-communautés. Les symptômes sont violents et impressionnants lors des dernières phases de la maladie, les gens tombent comme des mouches. Au District, l'hôpital est bondé, surmené et hautement infectieux. Par manque de moyens, il n'est pas rare de voir des patients pris en charge sur des civières dans les couloirs. Cela rappelle les heures les plus sombres de la contagion de l'ISV-33 sur le sol américain. Beaucoup craignent que cette maladie soit le clou final dans le cercueil de l'humanité mais par chance.. Le savoir faire des médecins et les mesures prises par les militaires, renforcement du couvre-feu, retour du port du masque en extérieur, viennent à bout de cette maladie vers la fin du mois. En ville, c'est une nouvelle fois les Troqueurs qui brillent. Un élan de solidarité les pousse à ouvrir leurs portes aux malades pour les soigner. Des nombreux survivants isolés transitent alors chez eux pour se faire soigner. C'est difficile et les pertes sont lourdes, mais grâce à l'assistance précieuse d'un médecin envoyé par la Meute à leurs précieux alliés commerçants et aux fournitures d'un pharmacien du centre-ville, on voit la lumière au bout du tunnel et de nombreuses vies peuvent êtres sauvées.

Après la crise, le tristement célèbre groupe des Vautours se retrouve plus que jamais en difficulté. En effet de nombreux membres se sont retrouvés contaminés par le virus, mais la guerre ouverte entre eux et les Troqueurs les prive de leurs soins. La majeure partie des Vautours décède, une autre quitte la ville pour monter vers le nord dans l'espoir de trouver une nouvelle ville plus accueillante. Ceux qui sont restés, pensant pouvoir se fondre dans la masse et survivre, sont traqués et éliminés les uns après les autres par la Meute. Les ressources amassées dans le cinéma dont ils s'étaient emparés reviennent dans leur intégralité à la Meute. Et comme ça, les Vautours s'éteignent.


Juin :

Les mauvaises nouvelles ne finissent pas d'accabler San Francisco. Cette fois, une fois que la crise concernant la maladie passée, le bilan est dressé. Il faut plusieurs semaines à l'administration du District pour compter tous les morts. Entre ceux ayant perdu la vie à l'hôpital et ceux n'ayant pas eu le temps de se rendre à l'hôpital, trouvant la mort dans leur domicile.. Mais lorsque les chiffres tombent, c'est le choc. Ce sont très exactement 1883 citoyens et 501 soldats qui ont perdu la vie dans le courant du mois de mai. La population à fleur de peau est en émoi, et la colère commence à se faire sentir dès lors qu'une conversation entre gradés militaires sur l'USS Enterprise est supposément entendue, la rumeur voudrait que certains haut-placés du corps d'armée se réjouissent de l'étendue des pertes car la distribution des rations s'en verra facilitée..



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