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Leith Keyser
# J'ai entendu quelqu'un crier, j'ai cru que c'était quelqu'un d'autre, mais en fait, c'était moi | LeithMar 30 Juil - 0:32
KEYSER Leith
Groupe : Fermiers
Lieu de vie : San Francisco Golf Club
Rôle : Patrouilleur (+ travailleur aux champs)

Proches: Peut-être des amis çà et là. Nés de parents tout deux enfants unique, et l'étant lui-même, Leith n'a pas une grande famille. Pour ainsi dire, il se concentre sur sa survie personnelle plutôt qu'à retrouver ses parents.

Ancien métier :
18/25 ans : Mercenaire/Homme à tout faire
25/27 ans : Gardien de phare
27/32 ans : Videur de boîte
32/34 ans : Semi nomade
Originaire de : Durham - (Caroline du Nord)  
Âge: 36 ansorigine: Américainegenre: Hommeanniversaire : 10/12Orientation sexuelle: Hétéro Situation conjugale: Célibataire


Aptitudes et atouts de survivant
Porteur Sain : Non
Le sait-il ? Non

Ses armes : Un 9 mm de la firme Allemande Heckler & Koch + une clé en croix

Sport pratiqué : Boxe pendant 8 années de 22 ans à 25 ans, puis de 27 à 32. (Combat clandestin)

Autres précisions :
- Construire du feu à base de pierre à feu, de bouts de bois et de feuilles séchées.
- Faire des nœuds marins.
- S'orienter avec une boussole et une carte.
- Mécanique basique (vidange, pneus, ...)
- Bon tireur.

- Son van est perdu quelque part dans SF, désossé. Il est possible qu'il reste encore des ressources à l'intérieur.


Apparence

Carnation : Caucasien
Taille : 1m89
Corpulence | poids : Corps svelte et habile, néanmoins marqué de muscles ciselés | 78 kg
Cheveux: Court et noir
Yeux: Gris - prenant des teintes plutôt bleues au soleil
Signes distinctifs: Aucun en particulier
Autre: Des dogtag de militaire où on peut voir figurer, taillé dans le métal, son nom et prénom ainsi d'un numéro de matricule. Ce sont simplement une réplique factice qu'il a fait gravé dans un musée mémorial de grande guerre des Devils Dogs.


Personnalité
D'un naturel calme, la solitude ne fait pas peur à Leith puisqu'il est persuadé que c'est en les gens que réside la vraie noirceur, plutôt qu'en les infectés, qui eux, sont prévisibles. L'étude de ses spécimens avec la compréhension de leurs spécificités lui permet d'en apprendre les codes et de trouver des solutions pour contourner la menace immédiate qui pèse sur lui.
Très peu fan des théories ou des systèmes abstraits, Leith préfère se centraliser sur la crédibilité des faits existants et semble avoir peu de patience pour l'incompétence.

Leith prend rapidement des positions d'autorité dans les domaines qu'il maîtrise, attaché à ce qui fonctionne plutôt qu'à essayer un nouveau modèle qui n'a pas encore fait de preuves à ses yeux. Réfractaire aux nouvelles méthodes et au changement, il n'en reste pas moins curieux et axe ses questions pour tester la fiabilité d'un procédé audacieux avant de l'adopter.

Sa débrouillardise accrue lui confère une capacité d'improvisation animée par son désir de réussite. Leith prend des décisions basées sur la logique et la raison, en évaluant soigneusement les risques et les avantages de chaque choix, même s'il lui arrive d'agir de manière plus instinctive quand les solutions lui manque.
En effet, Leith préféra toujours tirer dans le tas pour gagner du temps plutôt que de devoir contourner l'ennemi.

Malgré son tempérament parfois distant, Leith est avant tout régi par une véritable motivation à aider et à servir les autres. En effet, il met à profit sa fiabilité et sa persévérance pour le bien du groupe, et trouve une certaine satisfaction lorsqu'on fait appel à lui ; en revanche, il fait primer l'intérêt personnel (le sien, celui de quelqu'un d'autre) avant celui du groupe, estimant un individu à part entière plutôt que l'influence d'un noyau de personnes.
Cependant, ses actions ne sont pas totalement désintéressées, puisqu'il adopte un angle stratégique lorsqu'il exprime sa générosité en soutenant les autres comme un moyen d'assurer la loyauté et les relations réciproques. C'est un bourreau du travail avec une tendance à vouloir jouer le protecteur pour gagner l'approbation qui lui manque.

Toutefois, Leith est loin d'être un enfant de chœur. Sa quête de grandeur à ses limites, et reste limitée au cercle de personnes qui peuvent lui apporter quelque chose. De fait, il justifie ses choix en décrétant que la vie d'un inconnu vaut moins que celle de quelqu'un qu'il connaît.
En dépit de ses hésitations à faire le bien, à peser entre sa moralité et sa survie personnelle, l'homme est tiraillé, hautement secoué dans sa conscience, mais réservé à ce sujet - il essayera toujours de protéger les humains s'il doit tuer des infectés à proximité.

Sa complexité émotionnelle se manifeste dans ses choix nuancés. À la fois Leith se bat pour ses convictions, à la fois sa tendance à de ne pas appliquer son propre cheminement de pensée sous pression, manifeste son incapacité à défier une autorité. Pour s'adapter, Keyser est capable de manquer à la parole donnée, laissant croire à l'autre ce qu'il veut entendre avant d'agir en douce par la suite.  
Sa moralité bancale lui laisse une liberté d'action qui lui permet de ne pas laisser les sentiments enfreindre le bon déroulement d'une mission.

Pour autant, Leith ne se laissera pas emporter par la panique ou l'irrationalité. Son pragmatisme le pousse à privilégier sa survie et ses objectifs immédiats, même si cela implique des compromis moraux. Bien souvent, sa violence est motivée par la recherche de statut qu'il gagne en accomplissant des tâches pénibles pour les autres.

Sous stress, l'ancien mercenaire à tendance à s'imaginer une multitude de scénarios catastrophe et cherche à se préparer de ces possibilités pour s'y protéger. De la même façon qu'il travaille de façon structurée en attendant des ordres clairs et précis -auquel cas il se laisse le droit d'improviser- ses séquences de paranoïa peuvent s'avérer tout aussi pleine de sens.

Enfin, son sarcasme est un moyen de pallier à la complexité des relations humaines en ajoutant un brin d'humour à ses interactions.


Passé
Je suis immédiatement pris en charge. Andrew me fait signe de le suivre jusqu'à une petite pièce servant de bureau. D'un air grave, il m'invite à m'assoir derrière une table de fortune et me dévisage. J'en fais de même. Leur leader a le visage marqué par les épreuves et les années, ses yeux méfiants brillent d'une certaine curiosité.

"Leith, je vais être franc avec toi. Rejoindre notre communauté, ce n'est pas une décision à prendre à la légère. Ce monde a changé, et survivre, ça se mérite. Qu'est-ce qui t'a amené jusqu'ici, dans ce petit coin de paradis, loin de tout ce que tu as connu ?"

Il met les pieds dans le plat, j'apprécie.

"Merci de me donner ma chance de m'exprimer. Puisque tu es franc avec moi, je vais l'être tout autant. J'ai voyagé. J'ai beaucoup voyagé. Avant d'atterrir ici, avant que tout ça commence, j'étais en road trip avec ma copine. On était originaire de Caroline du Nord et on a pas mal sillonné les routes."

"La Caroline du Nord, c'est loin d'ici. Qu'est-ce qui vous a poussé à prendre la route, juste avant que le monde ne bascule ? Et surtout, comment avez-vous fait pour survivre aussi longtemps sur les routes après l'épidémie ?"

"Ma copine aimait les voyages. Elle avait une activité sur les réseaux... Elle faisait des bruits sur son micro et ça endormait les gens. Elle aimait son travail, mais elle voulait sortir de la routine. Alors, un jour, on a acheté un van et je l'ai aménagé avec des copains. On en a fait notre deuxième maison. Ainsi elle pouvait travailler et voyager en même temps. On a vécu comme des semi-nomade pendant deux ans. On voulait faire le tour des USA avant de commencer à prendre des routes plus longues."

Il lève un sourcil, intrigué.

"Un van aménagé... C'est une idée originale. Et cette histoire de bruits pour endormir les gens, c'est... atypique. Mais dans ce monde, on a vu de tout. Quand la situation a dégénéré, où étiez-vous ? Comment avez-vous réagi à l'annonce de l'épidémie ?"

Je soupire, réajuste le col de ma chemise.

"Quand c'est arriver, nous étions à l'arrêt. Je voulais qu'on reste à l'écart des civilisations, mais elle a voulu rejoindre le district de l'état dans lequel on était pigés. Celui du Colorado. On avait entendu les informations par radio. Moi j'y croyais pas, mais Kara avait peur."

Andrew garde un regard fixe. Je ne l'ai pas surpris une seule fois à cligner des yeux.

"Le Colorado... Un choix compréhensible, vu les circonstances. Mais comment vous vous êtes acclimatez, vous avez retrouvez votre famille ?

Je lui apprends qu'on a trouvé nos marques, même si on était séparé en journée. J'ai été affecté aux recherches de ressources, un post d'extérieur, tandis que Kara s'occupait des enfants ou des adolescents. C'était un con de l'affilier à la responsabilité des autres, parce que même si son ancien métier reposait les gens, elle le faisait derrière un écran. C'était plus compliqué pour elle d'appliquer ses compétences sur le terrain. Son hyperémotivité a pas aidé.

"Kara a toujours eu des problèmes avec sa famille. C'étaient des gens bien, mais ses parents n'étaient pas affectueux avec elle, si bien qu'elle a pris mes parents pour les siens. Elle avait un grand frère avec qui elle entrainait encore des bonnes relations. Des histoires de famille basique, en somme, mais qui l'ont beaucoup affectée.""Quant à moi, eh bien, je ne suis pas très famille."

Ma mère était du genre étouffante, pas surprotectrice, plutôt envahissante. Elle est vieille maintenant. Elle n'aurait jamais suivi la cadence. Mon père j'en sais rien, il est certainement resté avec.

"Qu'est-il advenu de Kara ? Elle a succombé à l'infection ?"

Je sais qu'en racontant mon passé, je m'exposais à ce genre de question. Elle est légitime, mais la froideur détachée avec laquelle il me la pose me fout en rogne. J'ai l'impression qu'on parle de Kara comme d'une victime en plus alors qu'elle était tout ce que j'avais. Je m'éclaircis la gorge.

"Comme tous les autres districts, le Colorado est tombé. Une horde s'est infiltrée... J'ai voulu aider Kara. J'ai été réactif. Mais Kara, elle... elle avait trop peur."

Je me souviens de lui avoir empoigné le bras, de lui adjoindre de venir. Je fais ce rêve tous les soirs, et dans ce cauchemar, je revois la scène de sa mort. Sa rapide disparition dans la masse putride et sa lente agonie.
Quand je suis éveillé, la scène est floue, inexistante. Mais dés lors que je commence à m'endormir, je suis assaillis par les hurlements distendus, par l'odeur de caoutchouc brûlé qui me prend à la gorge. À ce moment quelqu'un à fait exploser une voiture pour faire diversion - je vois en haute définition, jusqu'aux néons du bâtiment qui grésillent, ou le motif abstrait sur le sol de gomme.
Je déteste dormir.

"C'était trop tard."

J'ai pas de cigarette pour m'échapper. Ce n'est pas ce qui me manque le plus.

"Je comprends que ce soit difficile pour toi d'en parler. Perdre quelqu'un dans de telles circonstances, c'est une épreuve que peu de gens peuvent imaginer. Tu as fait ce que tu as pu pour essayer de l'aider, même si le résultat n'a pas été celui que tu espérais."

Il marque une pause et frotte sa barbe naissante.

"Nous avons tous perdu des êtres chers, et nous savons ce que c'est de vivre avec la douleur. Mais dis-moi, après la mort de Kara, qu'est-ce qui t'a poussé à continuer à te battre ? Pourquoi n'as-tu pas rejoint un groupe plus tôt ?"

"Après la mort de Kara, j'ai erré. Je voulais être seul. Je me disais que c'était la seule solution. Alors j'ai récupéré en vitesse le van que les militaires avaient mis en consigne et je me suis barré."

J'ai laissé les survivants crever. J'ai volontairement chasser un homme de mon pare-brise pendant que je roulais. J'ai fait des choses affreuses et j'ai l'impression que les yeux verts d'Andrew sonde mon esprit, à la recherche de mes souvenirs.

"Tu as eu besoin de te retrouver, c'est compréhensible. Mais pourquoi avoir choisi la solitude plutôt que de rejoindre un groupe ? La survie est bien plus facile à plusieurs, non ?"

Son regard appuyé ne me déstabilise pas. Au contraire, c'est la façon dont il approuve mes choix sans les connaître qui me laisse interdit. Je ne sais pas si ça fait parti de son test ou si c'est simplement sa manière d'être.

"J'ai vu les ravages que pouvait donner un groupe au Colorado. Toujours la même dynamique. Les privilégiés, les opprimés. J'appréciais y travailler, le partage des ressources et la discipline, mais... beaucoup on abusé de leur position sociale."

"Je comprends ton point de vue. Il est difficile de savoir à qui accorder sa confiance. Ici, nous essayons de faire les choses différemment. Nous nous efforçons de construire une communauté basée sur le respect et la solidarité. Le groupe est petit mais fonctionnel."

J'hoche la tête. J'ai à mon tour un paquet de questions à lui poser, mais je préfère le laisser finir de m'interroger.

"Qu'en est-il de San Francisco ? Pourquoi n'as-tu pas voulu rejoindre une ville aussi grande est tout aussi fonctionnelle au lieu de notre petit groupe, à l'écart de tout ?"

Au fur et à mesure de notre entretien. Je me rends compte d'un détail ostensible. Andrew s'exprime de manière directe. Ses questions sont concises et ne laissent aucune place à l'interprétation. En aucun cas, il tente d'être intimiste ou ouvert avec moi. C'est un bon leader. Sa façon d'être me conforme, voire me motive, à lui prouver que je dois être des leurs.

"Par peur d'y retrouver les mêmes dynamiques qu'au Colorado. Les humains se répètent sans cesse. Ils n'apprennent pas et font les mêmes erreurs encore et encore. Après être resté seul pendant cinq mois, j'ai eu le temps de méditer sur la question. Plus que tout, je veux me concentrer sur l'essentiel : survivre."

J'ai une philosophie de vie qui m'amène à privilégier la solitude, cependant, le contexte actuel ne me le permet pas. Je ne veux plus être seul.

"Je respecte, mais n'est-ce pas paradoxal de rechercher la compagnie d'autres survivants tout en te méfiant autant de la société ?"

Il marque un point. Un sacré point, même. Je lâche un rire de décompression. Ma main rebondit devant lui.

"Ah ! Les êtres humains sont paradoxaux."

"Qu'est-ce que la survie pour toi, Leith ?"

Merde.

C'est quoi la survie ? La survie, c'est ne pas mourir pardi ! Je plisse les yeux. J'ai l'impression que tout va se jouer sur cette question. Brièvement, je me remémore cette scène pendant le voyage, sur les falaises Vermilion au nord de l'État de l'Arizona, proche de la frontière avec l'Utah. Un matin de jogging. Personne. Sauf un type. Et il n'avait pas d'appareil photo.

Il voulait sauter. Je ne suis pas un diplomate, mais je sais cerner les gens. Il lui a fallu quelques mots pour le réconfort. Alors oui, la survie c'est ne pas mourir.

"L'isolement m'a rendu fou. Avant que tout ça ne commence, j'étais dans l'armée de mer. Je me suis engagé pendant 7 ans. J'ai débuté Matelot de 2ème classe, puis de fils en aiguilles, je suis passé Second Maître à mon dernier grade. J'avais pour charge de superviser une équipe de matelots et de leur transmettre mes connaissances. Ensuite, j'ai eu une volonté de me reconvertir pour un métier plus civil. J'ai choisi de rester proche de la mer et je suis devenu gardien de phare, à Kill Devil Hills. Pendant 2 ans."

La patience qui s'allume dans son regard me pousse à poursuivre. Je crois qu'il sait où je veux en venir. J'espère qu'il a pas grillé mon mensonge.

"Au début ça allait, je m'occupais de mes tâches ordinaires, et j'étais proche de la mer. Mais, au fur et à mesure, j'ai été victime d'hallucinations. La monotonie des journées, des nuits. Les constantes marée inlassables, régulières... J'ai fini par détester la même monotonie que j'adorais."

Le phare, ça a été ma bonne planque. En tant que mercenaire, j'avais des contrats de tous genre. Tuer un membre du gang rival pour éviter les représailles à mon contract, livrer un paquet risqué, surveiller un bar pour qu'une Famille mafieuse célèbre leur victoire, jusqu'à tenir compagnie à un type endeuillé de son chat dans un bar. J'ai jamais rien refuser parce que c'était de l'argent facile.
J'ai disparu des radars et la pègre ne pas m'a plus jamais recontactée. Après ça, j'ai été videur en boîte en accumulant mes entraînements de boxe.

"Euhh Leith... ? T'es encore avec nous ?"

Hein pardon ? Je cille. J'ai la tête qui tourne. Ça arrive ponctuellement.

On disait quoi déjà ? Ah, ouais -

"... Ce que je veux dire par là, c'est que j'ai vu que les gens pouvaient vivre au-delà des murs. La preuve, vous existez ! Alors, lorsque j'ai saisis l'occasion et quand j'ai été de nouveau exposé à la solitude, je me suis rappelé le phare. C'est pareil pour la survie. On la déteste mais on doit faire avec. Les gens la rendent un peu plus supportable."

Il hoche la tête, silencieux. De toute manière, je n'ai rien à cacher, aucune carte à jouer. Quand je m'exprime, c'est moins pour demander le point de vue de mes interlocuteurs que pour affirmer le mien.

"Avec un tel palmarès, je comprends que tu es multi-tâches. As-tu des compétences particulières qui pourraient être utiles au groupe ?"

Je lui énumère ma liste d'aptitude. Je suis prêt à apprendre. Avec ceci, il me demande également ce que je pourrais leur apporter. Malgré le contexte particulier du statuquo, je suis plutôt détendu de pouvoir parler de ce que je sais faire, ou d'être capable de me projeter. On en viendrait à oublier que le monde est en perdition et que cet entretien est ma dernière chance.

"Hm. Je vois. Dernière question. Combien d'infectés as-tu tué ?"
"Des tas."
"Et combien d'être humain tu as tué ?"
"Pas mal aussi."

Je ne les compte plus. Ceux de mon passé de mercenaire, ce type sur le pare-brise, et cette gamine perdue dans un éboulement... Je suis peut-être un monstre au final.


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Comment avez vous trouvé le forum ? Je m'en rappelle plus du tout, certainement les top-sites ? En attendant, il faut sachez que vous êtes depuis 2021 dans mes dossiers de forums à rejoindre et je suis enfin là oh ça me touche
Un commentaire sur le forum: Attendez vous à me voir inscrire les 2/3 de mes personnages PARCE QUE J'AIME TROP CE GENRE DE FORUMS

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"Écoute, t'as raison, je ne suis pas un gentil, c'est vrai. Je ne suis pas un gentil, mais je ne suis certainement pas un méchant non plus."

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